En refusant de s’installer à l’hôtel La Falaise de Yaoundé, les joueurs répondaient à la résistance des autorités Librevillloises à payer les primes dues aux footballeurs.
C’est un véritable spectacle dégradant qu’on vécu les populations de la cité-capitale Yaoundé à l’arrivée de la délégation gabonaise en vue de la CAN qui commence ce dimanche 09 janvier 2022 au Cameroun. En fait de spectacle, il s’est agi d’un grand désordre coordonné par les footballeurs gabonais qui depuis la préparation de la fête du football continental, posent le problème des règlements de diverses primes u joueurs. Un bien triste souvenir encore frais dans la mémoire collective des Camerounais aujourd’hui en de bonnes mains. » De commun accord, la CAF et la fédération gabonaise avait décidé du logement de la délégation de ce pays à l’hôtel La Falaise de Yaoundé. En changeant brusquement d’hôtel, les autorités de la CAF ont signifié les sanctions et dégagé toutes responsabilités de la suite des événements », signale un élément proche du dossier. Côté officiels camerounais, » on reconnaît la liberté à la délégation gabonaise de faire ses choix personnels qui ne portent en rien effet contre l’hospitalité et la réussite de cette CAN qui sera sucrée quelques seront les cas. » Ce qui est constant, c’est que les footballeurs gabonais ont réussi à montrer à l’Afrique entière et au monde, l’amateurisme de leurs autorités en charge du football. Le reste après le sucre de la CAN.