Les haineux et les aigris ne savent plus quoi inventer sur le serviteur loyal et fidèle du président Paul Biya, qui demeure la cible d’une interminable cabale d’une cohorte d’individus avides de pouvoir.
Les attaques éhontées et infondées contre Samuel Mvondo Ayolo sont restées creuses et la mise à contribution de certains cabinets noirs abjecte. On ne le dira jamais assez, le seul crime de l’actuel ministre Directeur du Cabinet Civil (DCC) c’est sa loyauté indéfectible au chef de l’Etat au moment où plusieurs de ses collaborateurs semblent de plus en plus avoir la tête dans sa succession. La guerre que mènent les prétendants à la succession, contre lui depuis de longs mois, a gagné ces dernières semaines en violence et en intensité avec l’histoire des pseudos prostituées invitées par les autorités camerounaises pour assister à la Coupe d’Afrique Total Energies 2021. Ce qui, selon les analystes, renseigne sur les enjeux liés au renouvellement attendu du personnel gouvernemental. Lesquels seraient surtout liés à la succession au sommet de l’Etat, dans quelques années. En effet, par une fuite organisée avec une ingénierie à laquelle il convient désormais de s’habituer, une correspondance, interne à la Présidence de la République, du Ministre Directeur du Cabinet Civil adressée au Ministre d’État, Secrétaire Général de la Présidence de la République se retrouve sur la place publique et fait florès dans les réseaux sociaux. Ce succès de peu de vertus, tient à la fois de la qualité du destinateur et du destinataire, les deux collaborateurs les plus proches du Chef de l’État, l’un, » Gardien de la Maison du Président « , le Ministre DCC et l’autre, « Gardien de l’Administration Présidentielle « , le Ministre d’État, SGPR. Et de l’objet de ce Message-Fax: la réquisition par le second des titres de transport au bénéfice de trois compatriotes, qui se sont illustrées dans la défense de l’image de marque du Cameroun et de son Chef, écornée par les égarements de la cinquième colonne d’une opposition radicale et ethnique. Ce sont ces Camerounaises ,dûment invitées par nos Autorités ,en reconnaissance ,et récompense de leur engagement, que l’on présente, sans souci d’élégance et de probabilité, comme un trio de péripatéticiennes accourant au service du Ministre Directeur du Cabinet Civil, au frais de l’État ,et par l’entregent fonctionnel du Ministre d’État SGPR. Cette traversions pernicieuse de la réalité, est un défi au bon sens, pour au moins une raison : la division du travail présidentiel est telle que, si le DCC, est inscrit dans les perceptions et les représentations populaires comme » l’homme qui chuchote à l’oreille du Président « , le SGPR, le plus élevé des deux dans l’ordre protocolaire est responsable de l’Administration Présidentielle, et des différents relais avec le Gouvernement et l’Administration du pays. D’où le mythe de » Vice-Dieu » qui, dans l’imaginaire national, entoure cette fonction depuis des décennies. Le premier ne saurait, et ne pourrait, par conséquent, donner des instructions au second.
En un mot comme en mille…
De cette explication volontairement succincte, il appert que le message du DCC au SGPR est une transmission d’une instruction émanant d’une autorité supérieure. Son instrumentalisation vicieuse par des scribouillards à gage et leurs commanditaires aux abois, à l’identité bien connue, rend compte, en plus de leur ignorance des ritualités républicaines, de leur état de désespérance psychologique et mentale. La perspective de la géhenne est là, chaque jour plus précis !