A travers un communiqué rendu public par Emmanuel René Sadi de la Communication gouvernementale camerounaise, le black-out des réseaux électriques et la sécheresse des robinets résultent de la baisse du volume d’eau dans les rivières.
A la veille de la CAN Total Energies 21 qui a finalement eu lieu au pays de Paul Biya, les responsables en charge de la production et de la distribution d’eau et de l’électricité dans les grandes villes du Cameroun, avaient fait de grosses affirmations. » Les travaux engagés coûtent très chers à l’Etat du Cameroun. Nous ne travaillons pas seulement pour réussir une CAN sucrée au Cameroun, mais c’est aussi pour rassurer les étrangers qui arrivent et les Camerounais que les problèmes d’eau et d’électricité sont entrain d’être résolus maintenant, pendant et après la CAN. Ces investissements ont été autorisés par le chef de l’Etat pour qu’elles bénéficient en premier aux Camerounais », affirmait Gaston Eloundou, le ministre de l’eau et de l’énergie du Cameroun. Et comme si c’était la première fois que l’on connaissait la baisse du débit d’eau dans nos nombreux fleuves et rivières, le ministre René Sadi a été piqué pr une bête pour trouver une nouvelle explication : » les changements climatiques qui génère la baisse du débit d’eau et d’énergie électrique dans nos grandes villes », expressions usitées pour résumer les propos malheureux du Mincom. Un véritable Avocat des causes perdues on dirait…