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Après le déclenchement du COVID-19, en grande pompe la Ministre de la recherche, Mme Madeleine Tchuinte a promis en modo vision qu’il était possible de fabriquer l’azithromycine et la chloroquine au Cameroun et que son Ministère avait l’expertise et l’équipement nécessaire.

Dans le cadre de la riposte contre la pandémie du Covid-19, S.E Paul Biya, Président de la République du Cameroun, Chef de l’Etat avait de marqué son très haut accord au ministre de la Recherche Scientifique et de l’Innovation pour la fabrication de l’hydroxy chloroquine et l’azithromycine. Les deux médicaments qu’utilisaient déjà de nombreux médecins à titre curatif contre le Coronavirus. Quand le Chef de l’État  instruisait à ce moment l’acquisition des tests pour le dépistage massif, la fabrication des masques de protection et de gels hydroalcooliques. Il prescrivait en même temps au Minresi par ses services spécialisés, notamment l’Institut de Recherche Médicale et d’Etudes des Plantes Médicinales et le Centre National de Développement de Technologies en liaison avec les ministères de la Sante et des Finances, dans le respect scrupuleux des normes et qualités en matière de santé publique. Pour le début de la fabrication de de l’azithromycine et de l’hydroxy chloroquine 300 millions de francs Cfa auraient été débloqués en toute urgence comme dotation du chef de l’Etat au ministère de la recherche scientifique. Après le déclenchement du Covid-19, en grande pompe la Ministre de la recherche, Mme Madeleine Tchuente va promettre en modo vision qu’il était possible de fabriquer l’azithromycine et la chloroquine au Cameroun et que son Ministère avait l’expertise et l’équipement nécessaire. Le gouvernement va donc mettre à disposition de ce Ministère et de son Institut de Recherches Médicales et d’Etudes des Plantes Médicinales (IMPM), près de 300 millions de Fcfa à cette fin.  . Sauf que Selon le journaliste et lanceur d’alerte BORIS Berthold : il y a des doutes que la production de ce médicament se soit effectivement faite et sous la surveillance technique d’un laboratoire agréé et la supervision administrative du ministère de la Santé comme annoncé. Il était prévu ma fabrication au Cameroun de 6000 comprimés par jour. Au lieu de fabriquer ces médicaments, ils ont été commandés en Inde et réemballés dans des cartons estampillés MINRESI (pour donner l’impression qu’ils sont made in Cameroun), ils avaient cependant oublié que derrière les plaquettes de médicaments il y a toujours le nom du laboratoire fabriquant. Une supercherie qui n’a pas échappé à ceux qui ont réemballé ces médicaments.

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