Les signaux qui annonçant la tenue effective de la coupe africaine de football au Cameroun passent du vert à l’orange.
La rencontre prévue puis annulée entre la délégation de la CAF et le comité d’organisation de la CAN 2021 (COCAN) du Cameroun à la date du 21,juin était le signe avant-coureur du programme d’annulation de la plus grande fête du football au Cameroun. » le Comité de la CAF a saisi le COCAN pour lui dire qu’il reste disposé à travailler en étroite collaboration avec le COCAN 2021 pour que la plus grande fête du football africain se déroule dans les meilleures conditions… « , pouvait-on lire du communiqué subitement dressé au Cameroun. Dans l’ombre de la nouvelle mafia contre le pays du président Paul Biya, des Camerounais, mais aussi, l’influence des autorités et médias français comme RFI au profit du Maroc notamment. Si le nom de Seydou Mbombouo Njoya est cité au premier plan, il faudrait comprendre qu’il occupe actuellement une position ambiguë au sein du directoire de la CAF et de la Fecafoot. On sait de lui qu’il a perdu le procès en dernier ressort au TAS au profit de ses adversaires à la fédération camerounaise de football mais, désigné comme administrateur séquestre de ladite fédération. Depuis lors, la CAF semble poser une condition à la confirmation de la tenue de la CAN 2021,au Cameroun : » laisser le futur sultant des Bamun à la tête de la fecafoot ou perdre l’organisation de la CAN « . Ceux qui n’y comprennent encore rien dans cette affaire se sont réunis ce 10 juin autour de Pythagore Ndongo de la Cameroon Radio TV pour parler des stades d’olembe et de Garoua. Pourtant, les conditions exigées par les experts de la CAF ont été remplies, à en croire les propos de ces experts venus toucher du doigt le niveau des travaux. Y’aura ? N’y aura pas? La tension est encore montée d’un cran. Les yeux sont maintenant rivés vers le président Paul Biya et sa task force histoire de savoir si un nouveau glissement est confirmé.